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« L’être humain n’est pas à sa place seulement dans un monde ordonné, il est à sa place dans le monde merveilleux de son âme. (…) Si vous regardez au dehors de vous–mêmes, vous voyez la forêt lointaine et les montagnes, et, au-dessus, votre regard monte jusqu’aux espaces stellaires. Et lorsque vous regardez en vous, vous voyez de nouveau le proche, le lointain et l’infini, car le monde de l’intérieur est aussi infini que le monde de l’extérieur. (…) L’être humain vit dans deux mondes. »

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in : Le Livre Rouge, Liber Secundus, Le château dans la forêt - C.G. jUNG – 1913

 

LE DESSIN / THE DRAWING / DIE ZEITCHNUNG / IL DISEGNO

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Vu comme le vecteur direct de déambulations intérieures, le dessin naît d’une matière simple sur carnets, petits feuillets et papiers nobles (Velin, Arches). Au coeur de la recherche : la reconsidération et la réappropriation du lien ponctuellement perdu avec la nature et l’ensemble des dimensions du Vivant; l’art permettant par l’observation, la réflexion et la représentation poétique de se reconnecter de façon sensible avec le monde.

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En question: la place de l’homme dans la chaîne du vivant, l’analogie entre l’homme et la nature (l’arbre, l’oiseau, …), le lien sacré avec la Nature, ou comment recréer le lien sacré entre l’homme et son environnement.

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